Installations hydrauliques/Qanât (n.d.)
Localisation : système d’approvisionnement en eau de la ville depuis les sources dans la région de Hébron et Bethléem.
Réf :
Berchem (1922), p.240-248
Masterman (1902), p.87-112
Meinecke (1992),
9C/32, 9C/102, 9C/215, 25A/8, 25B/73, 39/35, 42/3, 42/128
Pierotti/Bonney
(1864)
Saulcy
(1853), (1865), (1882)
Schick
(1878), p.132-178
Warren (1876)
Whitty (1864)
Wilson/Warren (1871)
Wilson (1881), I, p.98-120
Berchem (1922), n°76, 103
RCEA 5427
Description.
Le système hydraulique alimentant Jérusalem en eau consiste en quatre principaux aqueducs et des bassins (ill.1) :
L’aqueduc du wadî al-‘Arrûb (alt.830m). Il récolte les eaux en provenance des sources ‘Ain Kuweiziba, ‘Ain al-Dilb, et ‘Ain al-Arrûb, ces sources convergent vers le birket al-‘Arrûb (alt.820m), puis l’aqueduc al-‘Arrûb conduit l’eau sur 39km jusqu’au Bassins de Salomon.
L’aqueduc du wadî al-Biyar (alt.870m). Il récolte les eaux de la source ‘Ain al-Daraj principalement puis court vers le nord-est sur 4,7km jusqu’aux Bassins de Salomon. Cette conduite est en partie faite de tunnels avec des ouvertures verticales pour l’entretien et l’aération.
Les Bassins de Salomon : un ensemble de trois bassins situés au sud de Bethléem, ils sont alimentés par les aqueducs du wadi al-‘Arrûb et du wadî al-Biyar. Ils reçoivent aussi l’eau des sources environnantes du ‘Ain al-Salîh (alt.810m), ‘Ain al-Burak (alt.805m) et ‘Ain al-Faruja. Ces bassins apportent l’eau à trois aqueducs : l’Aqueduc Inférieur, l’Aqueduc Supérieur qui fournissent l’eau à Jérusalem et un aqueduc qui va à Artas et alimente le site de l’Hérodion.
L’aqueduc Inférieur (ill.1) : il est en partie alimenté par le Bassin Inférieur, il court sur 21,5km et est en partie creusé, en partie souterrain, durant ce trajet il fait face à trois principaux obstacles à Bethléem, à Sur Bahir et au Jabal Mubakkar/Armon HaNatziv. Le premier et dernier obstacles sont traversés par un tunnel. Les nombreuses fouilles effectuées ont permis de retrouver des sections de la conduite à l’approche de Jérusalem :
une section sur la pente est de Dayr Tantur à 745m d’altitude (ill.1, 2)[1] et au monastère Grec Orthodoxe de Mar Elias par l’est
sur Shmuel Meir avenue (ill.3)[2], au sud-est de HaZeitim Park[3], à Sur Bahir (ill.6, 7)[4], sur les pentes du Nahar Darga[5] puis en direction de la partie est de Asher Viner street (ill.6)[6]
Khirbat Sabiha/Talpiyot est, vers Gershon Avner street[7]
sur les pentes est et sud du Diplomat Hostel, où une section de 150m a été retrouvé (ill.8))[8], puis à Qiryat Moriah vers Kurtz street (ill.9)[9] et Rav Hovel street (ill.10, 11)[10]
plusieurs sections entre David Raziel street, Mordekhay Alkehir street, Dov Guner street et le parc Amat HaMayin jusqu’au tunnel à Armon HaNatziv (ill.13, 14)[11], puis ressort à Tayeret Haas et Gabriel Scherover Promenade (ill.15)[12] et longe le couvent Ste Claire par l’est dans HaShalom Forest[13] jusqu’à Abu Tor (ill.16)[14]
la partie haute de la vallée du Hinnom vers Saint Andrew’s Scots Memorial Church[15].
Il atteint ensuite Mishkenot Sha’ananim (ill.17, 18, 23-28)[16], à l’ouest du birket al-Sultan (ill.20-22) qu’il contourne par le nord pour traverser la vallée du Hinnom (ill.19)[17]. Un pont à neuf arches permettait à l’aqueduc de traverser cette vallée depuis le sud-ouest jusqu’au nord-est. Une inscription datée 720/1320 (ill. plus bas) mentionnait la restauration de cette partie de l’ouvrage sous le sultan al-Nasîr Muhammad (3e règne 30 ramadan 709/3.III.1310 – 21 dhu’l-hijja 741/7.VI.1341).
L’aqueduc fait ensuite un circuit sur les pentes du Mont Sion et aux pieds du mur d’enceinte sud jusqu’au burj Kibrit (ill.29-33), il continue de longer le mur d’enceinte sur les affleurements (ill.34, 35) où il entre dans la ville intra-muros par une percée dans le mur d’enceinte à l’ouest de la Porte des Immondices près d’une base de tour. Il suit ensuite parallèlement l’escarpement rocheux du Quartier Juif, passe aux pieds de l’actuel Dan Family Building (ill.36-39) pour finir sa course au Haram via l’Arche de Wilson (alt.735m).
L’aqueduc Supérieur : il démarre au Bassin Intermédiaire et parcourt 13km parallèlement à l’Aqueduc Inférieur mais à une altitude plus élevée. Il a connu de nombreuses opérations de nettoyage. Son tracé est plus compliqué à suivre que l’Aqueduc Inférieur, à l’approche de Jérusalem par le sud, il traverse des terrains agricoles et des espaces densément bâtis. C’est lors de fouilles programmées ou par hasard que des sections de l’aqueduc sont retrouvés sur plusieurs sites permettant ainsi de reporter son tracé approximatif :
Des sections à Dayr Tantur, Mar Elias (ill.1, 4)[18], Giv’at HaMatos[19], Khirbat Tabalîya en direction de Ramat Rahel via les ruines de Kathisma.
Ramat Rahel, à la jonction de Hebron road et au début d’Asher Viner street, sur la partie nord-ouest de la colline (ill.2, 3, 5)[20]
Arnona entre Asher Viner street et Revadin Street (ill.6)[21]
Talpiyot, En Zurim boulevard[22]
Monastère Ste Claire (ill.7, 8)[23]
A l’emplacement de l’ancienne gare ferroviaire (ill.9)[24]
Ketef Hinnom, Menaghen Begin Heritage Center[25]
au sud du Jardin Blumfeld, sur le sderot Blumfeld[26]
Liberty Bell Park à la jonction des routes au nord (sur sderot Blumfeld)
Nord du birket Mamilla[27], sur Mamilla Mall street (ill.10)[28]
Bâb al-Khalîl/Porte de Jaffa/Bâb al-Khalîl (ill.13, 14)[29].
Il termine sa course au birket Ezechias (ill.15), via le Gloria Hotel, au nord de l’Imperial et Petra Hotels (ill.11, 12)[30].
Historique
Période antérieure.
La question de l’approvisionnement en eau de la ville était déjà d’actualité vers le 1e siècle BC, à cette époque la ville grandit rapidement et il faut beaucoup d’eau pour subvenir aux besoins des habitants toujours plus nombreux et pour alimenter les espaces publics et rituels.
L’aqueduc Inférieur peut être daté de la période hasmonéenne (168-37 BC), il est restauré par Hérode (r.37-4 BC) durant ses grands travaux d’urbanisme de Jérusalem. Tout le système hydraulique est aussi restauré et amélioré par Hérode et ses successeurs après 37 BC pour en faire un ensemble comprenant les aqueducs du Biyar, du ‘Arrûb, les deux premiers bassins des Bassins de Salomon et les aqueducs Inférieur et Supérieur.
L’aqueduc Inférieur a probablement été endommagé suite à la 1ere Révolte Juive (66-73) et abandonné jusqu’au 5e siècle, il est réparé au début de la période Omeyyade pour alimenter les citernes souterraines du Dôme du Rocher et de la mosquée al-Aqsa.
Il y a peu d’information sur l’utilisation de ce système durant les Croisades[31] et la période Ayyûbide, ils sont restaurés et à nouveau réutilisés sous les Mamluk.
Période Mamluk.
Une importante restauration de l’aqueduc est attestée sous le règne du sultan al-Nâsir Muhammad (3e règne 30 ramadan 709/3.III.1310 – 21 dhu’l-hijja 741/7.VI.1341), l’émir Sanjâr al-Jawlî entame des réparations pour le compte du sultan en 713/1313-1314. Une inscription datée 720/1320 mentionne une restauration vers le birket al-Sultân[32], puis l’émir Qutlûbak ibn Qarâsunqur al-Jukandâr poursuit et achève ces travaux, pour le compte du gouverneur Tankiz, entre shawwal 727/20.VIII-17.IX.1327 et fin rabi’ I 728/13.II.1328.
Une autre campagne de restauration a lieu en 785/1383-1384 sous le sultan d’al-Zâhir Barqûq (r.1e règne 19 ramadan 784/26.XI.1382 – 6 jumada II 791/2.VI.1389) et concerne l’aqueduc al-‘Arrub et le birket al-Sultân.
Le sultan al-Zâhir Khushqadam (r.19 ramadan 865/28.VI.1461 – 10 rabi’I 872/9.X.1467) entame des travaux de restauration du système hydraulique, mais ils sont interrompus après son assassinat le 10 rabi’ I 872/9.X.1467. Ils sont repris et achevés entre 873/1468-1469 et la première décade de jumada II 874/6-15.XII.1469 par l’émir Muhammad ibn al-Nashâshîbî et à partir du 12 rajab 885/17.IX.1480 par gouverneur de Ghaza Sîbây tous deux pour le compte du sultan al-Ashraf Qaitbây (r.6 rajab 872/31.I.1468 – 27 dhu’l-qa’da 901/7.VIII.1496). Ces travaux sont achevés le 20 rajab 888/24.VIII.1483 et concernaient principalement les aqueducs et conduites d’eau. Durant le règne de Qaitbây, le pèlerin italien Felix Fabri, qui visite la région entre 1480 et 1483, en fait une longue description[33].
La datation de l’aqueduc Supérieur est plus problématique, une hypothèse[34] admet sa construction suite à l’installation de la Xe Légion Fretensis à Jérusalem, après la destruction de la ville en 70. L’aqueduc est complètement achevé au 2e siècle. Il semble que Hérode soit aussi responsable de la construction de cet aqueduc destiné à alimenter son palais dans la ville haute de Jérusalem. Les récentes fouilles et découvertes au sud de Jérusalem montrent plusieurs phases de restaurations de l’aqueduc Supérieur entre le début de la période romaine et la période byzantine, à cette époque cet aqueduc est la source d’eau majeure de la ville pourtant il est à l’abandon pendant la période byzantine[35] et au début de l’ère musulmane.
Les bassins ont été restauré par le sultan Ottoman Soliman entre 1541 et 1568, une forteresse le Qal’at al-Burak est élevée vers 1601 pour protéger le site[36]. Tout le système est ainsi restauré par le sultan vers 943/1536 et ses successeurs[37], la ville de Jérusalem est aussi dotée de plusieurs fontaines[38].
L’augmentation de la population au 19e siècle entraine la municipalité de Jérusalem a étudier et améliorer son système d’approvisionnement en eau, les canalisations sont ainsi remplacées et refaites en céramique (ill.26, 34)[39].
En plus de cela, de nombreux voyageurs et explorateurs du 19e siècle ont étudiés et publiés sur le système hydraulique de la ville[40] et de nos jours les fouilles de l’IAA sont aussi régulièrement publiées[41].
Epigraphie
720/1320. Qanât al-Sabîl, dalle 2 lignes (200x60) sur la face sud du pont
(ill.plus bas)[42].
« A ordonné la réparation de ce canal béni
notre maître le sultan al-Malik al-Nâsir, le sultan de l’Islam et des
musulmans, Muhammad, fils du sultan al-Malik al-Mansûr Qalâwûn, dans les mois
de l’année 720 (1320). Gloire à notrer maître al-Malik al-Nâsir ! ».
874/1469. Texte de restauration 6 lignes (130x54) sur la façade sud du
tombeau Jaliqîya (ill.3)[43].
« Gloire à Allâh, qui a prodigué le bienfait et
… . (et qui a favorisé par ?) sa gracieuse assistance la restauration
des aqueducs aboutissant à Jérusalem … le sultan de l’Islam et des musulmans,
le tueur des hérétiques et des polythéistes, le dompteur des rebelles et des ….
(titres), (al-Malik) al-Ashraf Abû’l-Nasr Qaytbay, que son règne glorieux ne
cesse de donner la victoire à l’Islam…. (eulogies). Et ce (travail a été
exécuté) par les mains du serviteur avide d’Allâh, (l’émir Nâsir al-Dîn
Muhammad ibn al-Nashâshîbî….qu’Allâh le comble ?) de ses bienfaits et le fasse
parvenir, en toute bonne chose, au terme de ses espérances ! sous la
direction de Zain al-Dîn Qâsim…. (titre ou eulogie), qu’Allâh lui donne en
abondance… ! dans la premièr décade de jumada II de l’an 874 (décembre
1469) ».
Biblio complémentaire
Gibson/Jacobson (1996)
Hawari (2000),
p.101-120
Nadelman (2000),
p.159-162
Boas (2001), p.171-178
Amit (2002a), p.253-266
Billig (2002),
p.245-252
Mazar (2002), p.211-244
Adawi (2005)
Sion (2006)
Stark (2006)
Barda/Barzilai (2008)
Dagan/Barda (2009)
Harrington (2009), p.103-128
Kenney (2009)
Beeri (2011)
Dagan/Barda/Adawi (2011)
Lemire (2011)
Sion/Puni (2011)
Zelinger (2011)
Zilberbod (2011)
Billig/Dolinka (2012)
Solimany (2012)
Solimany (2012b)
Solimany (2012c)
Billig/Dolinka (2013)
Kloner (2013), n°389, 399, 401
Kloner (2013c), n°4, 16, 66, 72, 75, 76, 93, 97, 100, 112
Amit/Gibson (2014), p.9-41
Billig (2014)
Beeri (2014)
Oz (2014)
Billig (2015)
Billig (2017)
Billig (2018)
Adams (2019), p.15-35
Billig (2019)
Gibson/Lewis (2019), p.18-56
Gurevich (2020), p.268-281
Yechezkel (2021), p.149-187
The Times of Israel 28/08/23
Illustrations
générales
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1/ plan du système
hydraulique de Jérusalem |
2/ plan des principales
fouilles au sud de Jérusalem |
3/ inscription datée
874/1469 sur le tombeau Jaliqîya |
4/ exemple de conduite en
pierre au Musée Rockefeller |
5/ exemple de conduite en
pierre au Musée Rockefeller |
Illustrations aqueduc Inférieur
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1/ plan des fouilles de la
zone 1 à Deir Tantur |
2/ plan des fouilles de la
zone 2 et 3 à Deir Tantur |
3/ plan des fouilles sderot
Shmuel Meier à Ramat Rahel |
4/ plan des fouilles à Har
Homa |
5/ plan des fouilles à Umm
Tuba |
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6/ plan des fouilles à Sur
Bahir nord |
7/ plan des fouilles à Sur
Bahir |
8/ plan des fouilles sur les
pentes du Diplomat Hotel |
9/ plan des fouilles à
Qiryat Moriah |
10/ plan des fouilles de la
zone A à Qiryat Moriah vers Rav Hovel street |
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11/ plan des fouilles de la
zone B à Qiryat Moriah vers Rav Hovel street |
12/ plan du tunnel au Jabal
Mukabbar |
13/ plan de l’aqueduc et du
tunnel à Armon HaNatziv |
14/ plan du tunnel à Armon
HaNatziv |
15/ plan des fouilles sur la
Sherover Promenade |
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16/ plan des fouilles à Abû
Tor |
17/ plan des fouilles à
Mishkenot Sha’ananim |
18/ plan des fouilles à
Mishkenot Sha’ananim |
19/ plan des fouilles au
nord du birket al-Sultan |
20/ vue du birket al-Sultan
depuis l’angle sud-ouest du quartier Arménien |
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21/ le birket al-Sultan
depuis le nord-est |
22/ la paroi est du birket
al-Sultan depuis le bassin |
23/ vestiges de l’aqueduc
Inférieur à Mishkenot Sha’ananim depuis le nord |
24/ détail de la partie nord
de l’aqueduc Inférieur à Mishkenot Sha’ananim |
25/ vestiges de l’aqueduc
Inférieur à Mishkenot Sha’ananim depuis l’est |
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26/ détail des vestiges de
l’aqueduc Inférieur à Mishkenot Sha’ananim |
27/ vestiges de l’aqueduc
Inférieur à Mishkenot Sha’ananim depuis le dessus |
28/ vestiges de l’aqueduc
Inférieur à Mishkenot Sha’ananim depuis le dessus |
29/ section de l’aqueduc aux
pieds du Burj Kibrit/tour Sulfur, depuis l’ouest |
30/ détail de la section de
l’aqueduc, vue du dessus |
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31/ section de l’aqueduc aux
pieds du Burj Kibrit depuis l’est |
32/ détail de la section de
l’aqueduc avec la conduite en céramique |
33/ Burj Kibrit depuis
l’ouest |
34/ le mur d’enceinte sous
le Sepharatic Educational Center avec le canal creusé dans la roche |
35/ détail du canal depuis
le sud |
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36/ vestiges de l’aqueduc
Inférieur sous le Dan Family Building depuis le sud |
37/ une section de l’aqueduc
Inférieur sous le Dan Family Building depuis le sud |
38/ détail de la section de
l’aqueduc Inférieur |
39/ section de l’aqueduc
Inférieur dans l’escarpement rocheux au nord du Dan Building |
Illustration
aqueduc Supérieur
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1/ tracé de l’aqueduc entre Giv’at HaMatos et Ramat
Rahel |
2/ plan des fouilles à l’ouest de Ramat Rahel |
3/ plan des fouilles sur Asher Viner street à Ramat
Rahel |
4/ plan des fouilles vers le monastère Mar Elias |
5/ plan des fouilles à Ramat Rahel |
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6/ localisation du tracé de l’aqueduc à Arnona |
7/ localisation des fouilles au Couvent ste. Claire |
8/ plan des fouilles au Couvent ste. Claire |
9/ localisation et plan de l’aqueduc au niveau de
l’ancienne gare |
10/ plan des fouilles au nord du birket Mamilla |
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11/ plan des fouilles vers l’Imperial Hotel |
12/ plan des fouilles au Gloria Hotel |
13/ une section de l’aqueduc découverte lors de
fouilles sous Bâb al-Khalîl/Porte de Jaffa |
14/ une section de l’aqueduc découverte lors de
fouilles sous Bâb al-Khalîl/Porte de Jaffa |
15/ le bassin d’Ezekias entouré du Saint Sépulcre et
de l’Eglise du Christ Rédempteur |
Documents anciens
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L’inscription de restauration datée 720/1320 sur une
photo datée 1880 Source : n.i. |
Plan de la ville avec le tracé du système
hydraulique Source: Pierotti (1864) |
Plan de la ville en 1912 avec le tracé du système
hydraulique Source : n.i. |
Plan de la ville en 1915 avec le tracé du système
hydraulique Source : n.i. |
Plan du Haram avec son système hydraulique Source: Pierotti (1864) |
[1] Voir rapport, in Sion (2006).
[2] Voir rapport de fouilles, in Billig (2014).
[3] Voir rapport de fouilles, in Kloner (2013c), n°97.
[4] Voir rapport de fouilles, in Adawi (2005) ; Zilberbod (2011b).
[5] Voir rapport de fouilles, in Kloner (2013c), n°100.
[6] Voir rapport de fouilles, in Billig (2019).
[7] Voir rapport de fouilles, in Kloner (2013c), n°72.
[8] Voir rapport de fouilles, in Barda/Barzilai (2008) ; Zilberbod (2011).
[9] Voir rapport de fouilles , in Solimany (2012c).
[10] Voir rapport de fouilles, in Beeri (2014).
[11] Voir rapport de fouilles, in Billig (2002), p.245-252 ; Kloner (2013c), n°16, 75, 76.
[12] Voir rapport de fouilles, in Stark (2006).
[13] Voir rapport de fouilles, in Kloner (2013c), n°4.
[14] Voir rapport de fouilles, in Oz (2014).
[15][15] Cf. Mazar (2002), p.211-244.
[16] Voir rapport de fouilles, in Be’eri (2011) Solimany (2012).
[17] Voir rapport de fouilles, in Zelinger (2011) ; Kloner (2013), n°399.
[18] Voir rapport de fouilles, in Billig (2012), p.69-90.
[19] Une section de 300m de long de l’aqueduc Supérieur a été découverte fin Août 2023, cf. The Times of Israel 28/08/23.
[20] Voir rapport de fouilles, in Billig/Dolinka (2012), p.247-252 ; Billig/Dolinka (2013) ; Kloner (2013c), n°93 ; Billig (2017).
[21] Voir rapport de fouilles, in Billig (2015).
[22] Voir rapport de fouilles, in Kloner (2013c), n°66.
[23] Voir rapport de fouilles, in Solimany (2012b).
[24] Cf. Amit/Gibson (2014), p.26-27 et fig.28, un plan mentionne l’aqueduc.
[25] Cf. Amit/Gibson (2014), p.26-27.
[26] Voir rapport de fouilles, in Kloner (2013), n°465.
[27] Voir rapport de fouilles, in Gurevich (2020), p.268-281.
[28] Voir rapport de fouilles, in Kloner (2013), n°389, 401 ; Gurevich (2020), p.268-281.
[29] Voir rapport de fouilles, in Sion/Puni (2011) ; Sion/Rapuano (2014), p.453-490.
[30] Voir rapport de fouilles, in Landes-Nagar (2019).
[31] Sur cette période cf. Boas (2011), p.171-177.
[32] Cette restauration est certifiée par l’inscription datée 720/1320 et gravée sur le pont qui enjambait la vallée du Hinnom. Une photo, début 20e siècle montre cette inscription, aujoud’hui elle n’est plus visible cachée par l’actuelle galerie des artistes.
[33] Voir ce texte, in Mazar (2002), p.239-240.
[34] Sur les sources de cette hypothèse qui repose sur des inscriptions latines, cf Amit/Gibson (2014), p.34 et note 115.
[35] Peut être suite au séisme de 363AD.
[36] Sur cet édifice, cf. Hawari (2000), p.101-120.
[37] Sur ces travaux, cf. Lemire (2011), p.203-248 et van Berchem (1922), p.412-428, pour l’épigraphie notamment.
[38] Voir ces monuments in Hillenbrand/Auld (2000).
[39] Sur le système hydraulique après les Mamluk, cf Lemire (2011).
[40] Entre autre : Mastermann (1902), p.87-112 ; Schick (1878), p.132-178 ; Whitty (1864) ; Wilson/Warren (1871).
[41] IAA : Israel Antiquities Authority et les publications dans Hadashot Arkheologiyot sur le site de l’IAA.
[42] Texte d’après Berchem (1922), n°76.
[43] Texte d’après Berchem (1922), n°103.