Mur d’enceinte, tours et portes de la ville (n.d.)
Localisation : mur d’enceinte entourant la Vieille Ville sur 4,5km, percé de huit portes.
Réf :
Berchem (1922)
Bieberstein/Bloedhorn (1994) I, p.216
Bieberstein/Bloedhorn (1994) II, p.69, 79, 86, 90, 93, 114-117, 166, 243-245, 333, 383
Bliss/Dickie (1898)
Broshi (1977), p.13-17
Broshi (1987), p.299-303
Broshi/Tsafrir (1977), p.28-37
Hamilton (1944), p.1-54
Hennessy
(1970), p.237-246
Korn (2004), n°8, 9, 18, 25, 37
Mitchell
(1920), p.28-50
Pierotti
(1864)
Saulcy (1865)
Wilson (1866)
Wilson (1881-84)
Berchem (1922), n°40, 43, 150
Broshi (1987), p.299-303
Burgoyne/Abul-Hajj (1979), n°15, 16, 18
RCEA 3447, 3515
Sharon (1977), p.179-193
Walls/Abu-Hajj (1980), n°16, 18, 19, 40, 43, 150
Wiet (1922), n°16
Historique
Période antérieure
L’enceinte
est mentionnée par les voyageurs et explorateurs du 19e siècle, son
étude débute aussi à la fin de cette période[1].
Depuis les années 1990 elle fait l’objet de recherches[2]
et les sondages et fouilles opérés par le service des Antiquités Israéliennes
sont régulièrement publiées[3].
Une enceinte est déjà avérée sur la mosaïque de Madaba (ill.1) incluant la Cité
de David, l’Ophel et le Mont Sion (ill.2). On retrouve aujourd’hui ces vestiges
en plusieurs points de la ville. On peut distinguer trois grandes phases de
construction :
Une
phase romano-byzantine[4].
Une
phase Abbasside-Fatimide[5].
Une
phase Croisée et Ayyûbide avant la reconstruction totale par les Ottomans[6].
A
la veille de la conquête croisée, les murs semblent suivre le parcours des
futurs murs Ottomans (ill.3). Un important séisme endommage l’ensemble en
424/1033, les réparations seront achevées en 455/1063.
Deux
sources permettent de restituer l’enceinte et les portes sous les Ayyûbides et
les Mamluk : la biographie de la ville par Mujîr
al-Dîn[7]
et les Sijillât[8].
Les
murs à l’époque Ayyûbide ne semblent pas suivre le même parcours sur le front
ouest que celui d’aujourd’hui, des sources mentionnent la
Citadelle comme étant hors les murs et de nombreux quartiers de la ville (Harât Jawalida, Zara’îna, Mawlât, et Maghrabîya) sont situés extra-muros puis sont
mentionnés comme intra-muros sous les Mamluk.
Période Ayyûbide
Saladin
conquiert Jérusalem entre le 9-17 rajab
583/20.IX-2.X.1187. La menace de la troisième Croisade cinq ans plus tard le
contraint à restaurer les murs de la ville entre dhu’l-hijja
587-ramadan 588/Décembre 1191-Octobre 1192, il étend aussi le front sud en
englobant le Mont Sion (ill.4). Ces faits étant confirmés par des témoignages
de pèlerins Occidentaux en voyage à l’époque[9]
et par une inscription de construction datée 587/1191 et gravée sur la Qubba al-Yûsuf sur le Haram
(ill.84). Par la suite l’histoire du mur est un peu décousue.
En
595/1198 une inscription mentionne des travaux sans plus détails.
En
599-600/1202-1203 des travaux sont mentionnés sur deux inscriptions.
En
609-610/1212-1214 restaurations du front sud prouvée par une inscription du
sultan al-Mu’azzam ‘Isâ
(r.615/1217-624/1227), datée 610/1213 (ill.83)[10].
En
616/1219 le sultan Ayyûbide al-Mu’azzam ‘Isâ fait raser les murs de la ville à partir du 1 muharram
616/19.III.1219[11].
En
626/1229 la ville est rendue aux Croisés mais sans les murs.
En
644/1247 le sultan al-Sâlih Ayyûb
(2e règne 643/1245-647/1249) propose un plan, sans lendemain, de
refortification de la ville.
Le
mur d’enceinte Ayyûbide intègre des tours carrées et massives, au sud il
englobe aussi le Mont Sion, les fronts nord et nord-est sont protégés par un
fossé creusé dans la roche dont on voit les traces face au Musée Rockefeller
notamment. Le mur du Haram se substitue au mur
d’enceinte sur une grande partie du front est et une partie le front sud-est.
Les
nombreux sondages et fouilles de ces dernières années ont révélés plusieurs
vestiges de mur et de tours Ayyûbides (en partant de Bâb al-Khalîl) :
Une
base de tour avec une section du mur d’enceinte parallèle au mur Ottoman sous
l’actuelle Bâb al-Khalîl/Porte de Jaffa (ill.4-7). Le mur d’enceinte est en
partie élevé et excavé sur les vestiges d’un bain Byzantin, utilisé jusqu’au 7e
siècle et d’un aqueduc en usage jusqu’au début du 12e siècle, ce mur
reprend des blocs antérieurs et présente des vestiges de destruction et
d’éboulement consécutifs aux destructions de la muraille par le sultan al-Mu’azzam ‘Isâ en 616/1219[12].
Une
partie du mur Ayyûbide à quelques mètres au nord de Bâb al-Khalîl (ill.4, n°1)[13].
Une
base de tour, à cheval sur le mur d’enceinte, dans les jardins de l’hôtel Knight’s Palace (ill.4, n°2, 3 ; ill.8-10)[14].
Une
base de tour à angle nord-ouest en contrebas du Collège des Frères, Zahal square, et au sein de l’établissement (ill.4,
n°4 ; ill.11-16)[15].
Une
section du mur d’enceinte à l’est et à l’ouest de la Porte Neuve (ill.4,
n°6 ; ill.17-19)[16].
Une
tour à 130m au nord-est de la Porte Neuve, peut-être la Poterne de St Lazare
(ill.4, n°9)[17].
Une
section du mur à 25m à l’est de Bâb al-‘Amûd (ill.4,
n°11, 26 ; ill.2)[18].
Un
édifice, côté intra-muros, peut-être lié au mur (ill.4, n°14)[19]
Une
tour au nord Bab al-Asbât, côté intra-muros près de
l’église Ste. Anne (ill.4, n°16)[20].
Une
tour-porte à quelques mètres à l’ouest de la Porte des Immondices peut-être la
Porte des Tanneurs (ill.4, n°17 ; ill.27-36)[21].
Une
base de tour entre la tour-porte précédente et la tour Sulfur/burj Kibrît (ill.4, n°18 ;
ill.37, 38)[22].
Une
tour devant la tour Sulfur/burj
Kibrît (ill.4, n°19 ; ill.43-46)[23].
Un
édifice, à l’est des fouilles de University of North
Carolina, peut-être en lien avec le mur d’enceinte (ill.47)[24].
Une
tour en bas de Habbab Street vers un parking, à
cheval sur le mur d’enceinte Ottoman. Découverte d’une inscription de
construction du sultan al-Mu’azzam ‘Isa datée
610/1212 (ill.4, n°20 ; ill.52-56, 83)[25].
Une
tour au niveau de la Porte de Sion (ill.4, n°21)[26].
Une
tour à l’extrémité sud de la Armenian Patriarch road, dans le parking du Patriarcat Arménien
(ill.4, n°22 ; ill.59, 60)[27].
Une
base de tour à l’angle sud-ouest du mur d’enceinte (ill.4, n°23 ;
ill.62-67)[28].
Une
2e tour à 50m au nord de l’angle sud-ouest (ill.68, 69)[29].
Une
base de tour sur le front ouest, au sud de la Citadelle, découverte d’une
inscription datée du sultan al-Mu’azzam ‘Isa (ill.4,
n°24 ; ill.71-77)[30]
Période Mamluk
Les
Mamluk ne s’occupent pas des murs de la ville, on note seulement de menues
réparations en 696/1295 par le sultan al-‘Adîl Kitbugha (r.11 muharram 694/1.XII.1294 – 27 muharram
696/25.XII.1296) sur le front est du Haram et en 709/1309 par al-Nâsir Muhammad (2e règne 6 jumada
I 698/9.II.1299 – 22 shawwal 708/4.IV.1309) sur le
côté sud du Haram. Cet état semble confirmé par plusieurs voyageurs Occidentaux
et les portes sont mentionnées comme étant toujours debout[31].
A
partir de 1538, le sultan Ottoman Sulaiman restaure entièrement le mur
d’enceinte et fait construire de nouvelles tours donnant à la ville intra-muros
son aspect extérieur actuel. Les huit portes, Bâb al-Khalîl/Porte de Jaffa
(ill.1-7), Porte Neuve, Bâb al-‘Amûd/Porte de Damas
(ill.1-3), Bâb al-Sahira/Porte de Hérode (ill.1, 2),
Bâb al-‘Asbât/Porte St. Etienne (ill.1-3), Bâb
al-Rahma/Porte Dorée (ill.1, 2), Bâb al-Maghrabî/Porte
des Immondices, Bâb al-Nabî Dawûd/Porte
de Sion (ill.1-3) sont conservées ou modifiées[32].
Epigraphie
n.d. Texte de restauration 2 lignes (20x20) sur une dalle[33].
« xxx A
été fondé xxx wa’l-dîn, fils de ‘Uthmân xxx ».
587/1191. Qubba Yûsuf, Haram. Texte de restauration 6 lignes (180x90) sur
une dalle sous la niche (ill.84)[34].
« xxx Sa construction et le creusement du fossé
ont été ordonnés par notre maître al-Malik al-Nâsir Salâh al-dunya wa’l-dîn, le
sultan de l’islam et des musulmans, le serviteur des deux nobles sanctuaires et
de ce temple sanctifié, Abul-Muzaffar Yûsuf, fils d’Aiyûb, le vivificateur de
l’empire de l’émir des croyants, - que Dieu fasse durer ses jours et secoure
ses étendards ! – durant les jours de l’émir, du grand maréchal, Saif
al-Dîn ‘Alî, fils d’Ahmad, - que Dieu le glorifie ! – en l’année 587 de
l’hégire du Prophète (1191), sous la surveillance de l’émir Nâsir al-Dîn
Altun-Ba al-Saifî, que Dieu le favorise ! ».
610/1213. Texte de restauration,
5 lignes (97x59) conservé au Musée National (ill.83)[35].
Texte
non disponible.
Biblio complémentaire :
Wightman (1993)
Broshi/Gibson (1994), p.147-155
Geva/Bahat
(1998), p.223-235
Ben Dov
(2000), p.311-332
Hillenbrand/Auld
(2000)
Magen
(2000), p.281-288
Avni/Baruch (2001), p.76-79
Seligman (2001), p.262-273
Seligman (2002), p.73-85
Ghosheh
(2004), p.117-137
Weksler-Bdolah
(2005a)
Baruch/Zissu (2006)
Reich/Shukon
(2006)
Weksler-Bdolah
(2006)
Baruch/Weiss
(2009)
Colakoglu (2009),
p.193-209
Finkielsztejn
(2009), p.5-8
Hillenbrand/Auld
(2009), p.460-469
Avner
(2011)
Sion/Puni
(2011)
Weksler-Bdolah
(2011)
Weksler-Bdolah
(2011a)
Kloner
(2013), n°396, 397
Barbé/Vitto
(2014), p.32-44
Weksler-Bdolah (2014),
p.417-451
Weksler-Bdolah (2015), p.68-107
Gibson/Lewis (2016), p.39-55
Wiegmann (2016)
Re’em (2018)
Avner (2020)
Re’em (2021), p.249-293
Weksler-Bdolah (2021),
p.193-210
Landes-Nagar (2022)
Re’em (2022)
https://www.antiquities.org.il/jerusalemwalls/about_eng.asp
Illustrations de Bâb al-Khalîl/Porte de Jaffa
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1/ plan de Bâb al-Khalîl/Porte de Jaffa |
2/ vue de Bâb al-Khalîl depuis le nord-ouest |
3/ vue de Bâb al-Kahlîl depuis l’ouest |
4/ vestiges découverts sous Bâb al-Khalîl depuis
l’ouest |
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5/ base d’une tour sous Bâb al-Khalîl depuis le
nord-ouest |
6/ base d’une tour sous Bâb al-Khalîl depuis le
nord-ouest |
7/ base d’une tour sous Bâb al-Khalîl avec le mur
d’enceinte depuis l’ouest |
Illustrations Bâb al-‘Amûd/Porte de Damas
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1/ plan de
Bâb al-‘Amud/Porte de Damas |
2/ plan des fouilles à Bâb al-‘Amûd |
3/ vue de Bâb al-‘Amud depuis le nord |
Illustration de Bâb al-Sahira/Porte de Hérode
Illustrations de Bâb al-‘Asbat/Porte de St. Etienne
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1/ plan de Bâb al-‘Asbat/Porte de St. Etienne |
2/ Bâb al-‘Asbat extra-muros |
3/ Bâb al-‘Asbat intra-muros, depuis le sud |
Illustrations de Bâb al-Rahma/Porte Dorée
Illustrations Bâb al-Nabî Dawûd/Porte de Sion
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1/ plan de Bâb al-Nabî Dawûd/Porte de Sion |
2/ Bâb al-Nabî Dawûd depuis l’ouest |
3/ l’accès à Bâb al-Nabî Dawûd, coté extra-muros |
Illustrations de l’enceinte
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1/ Jérusalem sur la mosaïque de Madaba |
2/ plan des différents tracés de l’enceinte |
3/ plan des différents tracés de l’enceinte |
4/ plan des vestiges médiévaux et des fouilles de
l’enceinte |
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5/ plan de fouilles au nord de Bâb al-Khalîl |
6/ le front nord-ouest depuis le sud |
7/ une tour du front nord-ouest avec l’inscription
de construction Ottomane |
8/ plan des fouilles en 2006 au Knight’s Palace |
9/ plan des fouilles en 2015 au Knight’s Palace |
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10/ plan des fouilles en 2015 au Knight’s Palace |
11/ plan des fouilles de la zone C en 2021 à Zahal
square |
12/ / plan des fouilles de la zone D en 2021 à Zahal
square |
13/ plan des fouilles de la zone E en 2021 à Zahal
square |
14/ vue de l’angle nord-ouest de l’enceinte depuis
le nord |
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15/ vue de l’angle nord-ouest de l’enceinte à Zahal
square |
16/ une base de tour à l’angle nord-ouest à Zahal
square |
17/ plan des fouilles de la zone A et B en 2011
autour de la Porte Neuve |
18/ plan des fouilles de la zone C et D en 2011
autour de la Porte Neuve |
19/ plan des fouilles du foosé au nord-ouest de
l’enceinte |
Illustrations de l’enceinte
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20/ une tour Ottomane et son inscription sur le
front nord |
21/ plan de la tour Laqlaq à l’angle nord-est |
22/ la façade est de la tour Laqlaq |
23/ vue de la tour Laqlaq depuis le sud-est |
24/ le front nord-est depuis le sud |
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25/ le front nord-est et ses tours |
26/ le front nord-est au nord de Bâb al-‘Asbat |
27/ plan de la tour-porte des Tanneurs |
28/ plan des fouilles à la tour-porte |
29/ la tour porte (plan n°17) depuis le sud |
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30/ la façade sud de la tour-porte |
31/ la tour-porte depuis l’est |
32/ la façade est de la tour-porte |
33/ l’intérieur de la tour-porte depuis l’ouest |
34/ l’intérieur de la tour-porte depuis le sud |
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35/ le mur d’enceinte sud en direction du sud-ouest
depuis la tour-porte |
36/ le mur d’enceinte sud en direction du nord-est |
37/ la base de la tour médiévale entre la tour-porte
et burj Kibrit depuis l’est |
38/ la base de la tour médiévale depuis le sud |
39/ le mur d’enceinte au sud de la base de tour
médiévale depuis le sud |
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40/ le mur d’enceinte au sud de la base de la tour
médiévale depuis le nord |
41/ une base de tour et une tour entre la base de
tour médiévale et burj Kibrit |
42/ détail de la base de tour et de la tour |
43/ burj Kibrit/Sulfur depuis l’est |
44/ vue de burj Kibrit depuis le sud-est |
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45/ la façade du burj Kibrit |
46/ burj Kibrit depuis l’ouest |
47/ plan de la tour médiévale et du secteur des
fouilles de l’University of North Carolina |
48/ l’enceinte sud au niveau des fouilles en
direction de l’ouest |
49/ l’enceinte sud en direction du burj Kibrit |
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50/ l’enceinte sud avec la tour Ottomane, à arrière
la tour médiévale au sud de Habad street |
51/ l’enceinte sud et la tour Ottomane depuis le
sud-ouest |
52/ base de mur d’enceinte face aux fouilles de UNC |
53/ la tour médiévale au sud de Habad street depuis
l’ouest |
54/ la tour médiévale au sud de Habad street depuis
l’ouest |
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55/ la tour médiévale au sud de Habad street depuis
le nord |
56/ l’intérieur de la tour médiévale depuis le
sud-est |
57/ plan des fouilles dans le secteur de la tour
médiévale |
58/ l’enceinte sud à l’est de Bâb al-Nabî
Dawûd/Porte de Sion |
59/ la tour au sud de Patriarcat street, côté
extra-muros |
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60/ la tour au sud de Patriarcat street, côté
intra-muros depuis le nord |
61/ l’enceinte sud avec la tour au sud de Patriarcat
street |
62/ l’angle sud-ouest de l’enceinte |
63/ la base de la tour médiévale à l’angle sud-ouest
de l’enceinte |
64/ détail de la base de tour médiévale depuis
l’ouest |
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65/ détail de la base de tour médiévale depuis le
sud-ouest |
66/ la tour à l’angle sud-ouest de l’enceinte, côté
intra-muros |
67/ la tour à l’angle sud-ouest de l’enceinte, côté
intra-muros depuis l’est |
68/ la 2e tour de l’angle sud-ouest de
l’enceinte, côté intra-muros |
69/ la 2e tour de l’angle sud-ouest de
l’enceinte, côté intra-muros depuis l’est |
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70/ la courtine médiévale de l’enceinte ouest au sud
de la tour médiévale |
71/ la tour médiévale de l’enceinte ouest |
72/ vestiges sur le côté nord de la tour médiévale |
73/ vue de la tour médiévale depuis le nord avec les
vestiges |
74/ la courtine de l’enceinte ouest entre la tour
médiévale et la base de tour médiévale |
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75/ détail de la base de tour médiévale |
76/ la base de tour médiévale depuis le sud |
77/ détail de la base de tour médiévale |
78/ l’enceinte ouest au sud de la Citadelle |
79/ la courtine de l’enceinte ouest |
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80/ la jonction du mur d’enceinte avec la Citadelle |
81/ vue de la Citadelle et de la jonction du mur
d’enceinte depuis le sud |
82/ vue de l’enceinte ouest et de la Citadelle
depuis le Mamilla Mall |
83/ l’inscription datée 610/1213 conservée au Musée
National |
84/ l’inscription datée 587/1191 de la Qubba Yûsuf
sur le Haram |
Illustrations de l’enceinte du Mont Sion
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1/ plan des
fouilles l’enceinte sur le Mont Sion en 1894-1897 |
2/ plan de l’escarpement du sud-ouest de l’enceinte |
3/ plan des
fouilles de 2010 sur l’escarpement du sud-ouest de l’enceinte |
4/ sections des fouilles de 2010 sur l’escarpement
du sud-ouest de l’enceinte |
5/ plan des fouilles de 2010 de la zone A et B sur
l’escarpement du sud-ouest de l’enceinte |
Documents anciens
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Plan de la ville en 1845 avec le tracé de l’enceinte Source : Kiepert (1845) |
Plan de la ville en 1864 avec le tracé de l’enceinte Source : Pierotti (1864) |
Plan de la ville en 1865 avec le tracé de l’enceinte Source : Wilson (1866) |
Plan de la ville en 1915 avec le tracé de l’enceinte Source : n.i. |
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Panorama de la villeet de l’enceinte depuis le Mont
des Oliviers Source : Pierotti (1864) |
Vue de l’enceinte ouest avec Bâb al-Khalîl/Porte de
Jaffa et la Citadelle Source : Pierotti (1864) |
Vue d’une section de l’enceinte nord
Source : Wilson (1881) |
Vue de la partie sud-ouest de l’enceinte Source : Wilson (1881) |
Vue du burj Kibrit Source : Wilson (1881) |
[1] Cf. Schick (1894) ; Bliss/Dickie (1898).
[2] Cf. Wightman (1993) ; Biederstein/Bloedhorn (1994).
[3] Cf. Site de Israel Antiquities Authority et sa revue en ligne HA-ESI.
[4] On voit encore aujourd’hui certains vestiges antiques en contrebas de la porte de Damas. Cf. Hennessy (1970), p.22-27 ; Wightmann (1989) ; Magen (2000), p.281-286 ; Weksler-Bdolah, S, « The fortifications of Jerusalem in the Byzantine period », in Aram 18-19, 2006-17, p.85-112.
[5] Cf. Weksler/Bdolah (2011), p.417-451.
[6] Sur la période Ottomane, cf. Wightman (1993) ; Berchem (1922) avec les inscriptions et Ghosheh (2014), p.117-137.
[7] Mujîr al-Dîn al-‘Ulaymî al-Hanbalî, al-uns al-jalîl bi-tarîkh al-Quds wa’l-Khalîl (The glorious history of Jerusalem and Hebron), 2 vols. Amman, 1973.
Mujîr al-Dîn al-‘Ulaymî al-Hanbalî, Histoire de Jérusalem et d’Hébron. Fragments de la chronique de Mujîr al-Dîn, trad. H. Sauvaire, Paris, 1876.
[8] Sijillât al-mahkama shar’îya ou registre de la cour de la Shari’a de Jérusalem.
[9] Voir les références, in Ghosheh (2014), p.117-137.
[10] L’inscription est exposée au Musée National, ref : 2001-844, 2013-48. Cf. Sharon (1977), p.179-193.
[11] Cf. Gibson/Lewis (2016), p.39-55, une photos montre les éboulis de 616/1219 retrouvés lors de fouilles en 1974.
[12] Cf. Reich/Shukron (2006), p.125-152.
[13] Voir rapport de fouilles, in Reich/Shukron (2006), p.125-153 ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[14] Voir rapport de fouilles, in Seligman (2002), p.73-85 ; Weksler-Bdolah (2005a) ; Weksler-Bdolah (2006), p.95-119 ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-451 ; Weksler-Bdolah/Avissar (2015), p.68-107 ; Weksler-Bdolah (2021), p.193-210.
[15] Voir rapport de fouilles, in Weksler-Bdolah (2006), p.95-119 ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453 ; Weksler-Bdolah (2021), p.193-210.
[16] Voir rapport de fouilles, in Finkielsztejn (2009), p.5-8 ; Weksler-Bdolah (2011a), p.95-130.
[17] Voir rapport de fouilles, in Weksler-Bdolah (2005) ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[18] Voir rapport de fouilles, in Landes-Nagar (2022).
[19] Voir rapport de fouilles, in Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[20] Voir rapport de fouilles, in Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[21] Voir rapport de fouilles, in Ben Dov (2000), p.311-332 ; Baruch/Weiss (2009) ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[22] Voir rapport de fouilles, in Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[23] Voir rapport de fouilles, in Ben-Dov (2000), p.311-332.
[24] Voir rapport de fouilles, in Wiegmann (2016).
[25] Voir rapport de fouilles, in Broshi (1977), p.13-17 ; Sharon (1977), p.179-183 ; Broshi (1987), p.299-303 ; Broshi/Gibson (1994), p.147-155 ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453 ; Gibson/Lewis (2016), p.39-55.
[26] Voir rapport de fouilles, in Broshi/Tsafrir (1977), p.28-37 ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[27] Voir rapport de fouilles, in Tushingham (1985) ; Seligman (2001), p.262-273 ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[28] Voir rapport de fouilles, in Tushingham (1985) ; Broshi/Gibson (1994), p.147-155 ; Seligman (2001), p.262-273 ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453
[29] Voir rapport de fouilles, in Tushingham (1985) ; Seligman (2001), p.262-273.
[30] Voir rapport de fouilles, in Sharon (1977), p.179-183 ; Tushingham (1985) ; Seligman (2001), p.262-273 ; Weksler-Bdolah (2011), p.417-453.
[31] Cf. Ghosheh (2004), p.117-137.
[32] Cf. Berchem (1922) avec les inscriptions de construction Ottomane.
[33] Texte d’après RCEA 3515.
[34] Texte d’après RCEA 3447.
[35] D’après Sharon (1977), p.179-193.