Tell Hisban (n.d.)
Localisation : à Hisban au nord de Madaba sur la route de ‘Amman.
Réf :
Beegle (1969), p.118-126
Bird (1969), p.165-217
Blaine (1978), p.183-188
Boraas/Horn (1969), p.97-117
Boraas/Horn (1973), p.1-17
Boraas/Horn (1975), p.101-117
Boraas/Geraty (1976), p.1-17
Boraas/Geraty (1978), p.1-17
Brown (1978), p.167-182
Conder (1889), p.104-109
Ferch (1989)
Geraty (1973), p.89-112
Geraty (1975), p.183-202
Geraty (1976), p.41-53
Harvey (1973), p.17-34
Herr (1976), p.79-100
Herr (1976b), p.107-109
Herr (1978), p.109-128
Ibach (1976), p.119-126
Ibach (1987)
Lawlor (1978), p.189-199
Lawlor (1980), p.65-76
Mare (1976), p.62-78
Mare (1976b), p.109-112
Mare (1978), p.51-70
Parker (1978), p.71-107
Sauer (1973), p.35-71
Sauer (1975), p.133-169
Sauer (1976), p.29-62
Sauer (1978), p.31-49
Thompson (1969), p.127-142
Thompson (1973), p.72-88
Thompson (1975), p.169-183
Van Elderen (1969), p.142-165
Van Elderen (1974), p.118-132
Van Elderen (1975), p.117-132
Van Elderen (1976), p.17-28
Van Elderen (1978), p.19-30
Vries (1986), p.223-235
Wimmer (1978), p.149-166
Historique
Situé sur la Route du Roi à 25km au sud de ‘Amman, le site est perché sur un tell à 800m d’altitude.
Devant les premières découvertes sur le peuplement et l’occupation du site en 1969, il est décidé d’en faire un champs d’étude pluridisciplinaire.
Le site a connu deux grandes campagnes de fouilles :
Heshbon Expedition 1968-1976 : principalement axée sur la connection du site avec la Bible[1], les fouilles se concentrent sur le sommet (aire A) et sur les pentes sud (aire B, D) et ouest (aire C). Les principaux édifices découverts sont la Basilique byzantine, deux autres églises, un édifice monumental romain, peut-être un Temple, les vestiges d’un complexe Mamluk, des tombes romaines (aire G), un réservoir de l’Age du Fer et des fortifications hellénistiques.
Hisban Cultural Heritage Project 1996- aujourd’hui : une partie du projet vise à nettoyer et à ouvrir le site au public en impliquant la population locale dans la restauration du site et à continuer les fouilles avec une approche pluridisciplinaire du site. La première phase de 5 missions (1998, 2001, 2004, 2007, 2010) se concentrent sur les sites d’époque islamique dont le complexe Mamluk (aire L, N, Q), les vestiges médiévaux sur les pentes ouest et sud-ouest (aire C), le village médiéval (aire O) et une zone au nord-est du sommet du tell (zone M) qui s’avère être une extension du site Mamluk peut-être une citadelle.
A partir de 2013, le projet s’étend sur les pentes et les contrebas du tell. Les fouilles de la pente est et des contrebas sud ont révélées différentes phases d’occupations dont une Mamluk.
Les différentes zones de
fouilles.
Zone A[2] : le hammam (aire A7 A8) et la Basilique au sommet du tell, largement fouillés durant la phase Heshbon Expedition.
Le hammam a une taille relativement modeste (environ 14,5x5,5m), il présente toutes les salles d’un bain traditionnel et semble couvert par une voûte en berceau, les sols ainsi que le système de chauffe par hypocauste et les deux citernes (chaude et froide) sont conservés. Il n’y a pas de traces d’un circuit d’eau permettant de remplir les deux citernes du hammam se situant sur le point culminant du site. Ce hammam qui ne communique pas avec la résidence adjacente présente toutes les caractéristiques des bains Omeyyades qui équipent les dénommés ‘Châteaux du désert’, et de part ses modestes dimensions il semblerait être plutôt lié à la résidence du gouverneur que d’être dévolu au public (ill.1, 13-37, 42-44).
L’église byzantine a semble t-il servie de fondation aux habitats médiévaux construits dessus (ill.12, 15, 16, 19, 22, 31)[3].
Zone B[4] : sur la pente sud vers le grand réservoir, activement fouillé dans les années 1970. Cette session révèle des sols Mamluk en B4 et une habitation byzantine réutilisée comme décharge sous le Mamluk. Cette partie du tell apparaît peu occupée par les Mamluk et semble plutôt faire le lien entre la citadelle au sommet et la route d’accès dans l’aire D (le grand escalier et l’accès sud sont recouverts durant la période médiévale), cet espace sert de terres agricoles suite à l’abandon de la citadelle (ill.48).
Le grand réservoir (zone G), utilisé à l’origne comme citerne ou carrière, devient un dépotoir sous les Mamluk. Il est associé à un important système hydraulique incluant citernes, canaux, salles… servant à récolter les eaux de pluie et celles provenant des quelques sources environnantes, ce système est réutilisé et perfectionné par les Mamluk[5].
Zone C[6] : sur la pente ouest face au wadî Majar, c’est l’emplacement d’un village Mamluk en partie fouillé dans les années 1970. Il semble contenir un complexe s’étendant sur toute la pente à partir du mur ouest de la citadelle. Ces salles présentent la même architecture que les salles découvertes dans l’aire M, elles reprennent aussi des éléments de remplois dont un système hydraulique et sont occupées jusqu’à la fin du 14e, mais elles sont dévolues à un usage domestique. Deux structures en C4-C6 et C9-C10 sont bien préservées. Au nord, une ferme Mamluk reprend une construction byzantine et semble suivre la même architecture que les salles découvertes en M, elles s’ouvrent aussi sur une cour avec citerne, elles sont reconstruites au 14e et seront réutilisées par les Ottomans. Des édifices de stockage sont aussi localisés à l’extrémité nord de la pente ouest (ill.49-51, 53-61).
Zone D[7] : fouillée dans les années 1970, une nouvelle session a exhumé des murs datés de la période Mamluk (ill.52).
Zone G[8] : plusieurs zones éparpillées sur le tell dont le grand réservoir et quelques grottes autour servant de citernes et réutilisées par les Mamluk pour stocker l’eau. Cette zone G inclue aussi les environs du tell dont le village au sud avec les bâtiments Ottomans[9] (ill.3).
Zone L[10] : directement au sud de la zone A, un édifice identifié comme la résidence du gouverneur local comprenant une cour pavée, deux salles au nord, une salle à iwan à l’ouest, une salle au sol réhaussé de 50cm au sud ainsi qu’un accès vers un escalier. Le tout semblait couvert par des voûtes en berceau. Le côté est de la cour est occupé par le hammam qui fait face à la salle à iwan (la salle d’audience). On retrouve ce type de résidence palatiale dans les châteaux de Kerak et Shawbak notamment[11].
La technique de construction de cette résidence apparaît assez pauvre et remploi de nombreux matériaux antérieurs. Se pose alors la question de sa résistance face aux séismes qui secouent régulièrement la région dont celui de 757/1356[12] qui entraine le déplacement de la capitale régional à ‘Amman.
Au sud de la résidence, une salle à voûte basse devait servir de site de stockage, d’autres salles non fouillées au sud-ouest du hammam et un corridor montrent des traces d’éboulement et d’incendie consécutives au séisme de 757/1356 (ill.13, 20, 21, 23, 24, 26-30, 32).
Zone M[13] : localisée sur la pente nord du tell près de la tour nord-est de la citadelle, on note une occupation non définie de la pente adjacente. Plus bas cette occupation apparaît plus dense avec des rangées de salles étroites couvertes d’une voûte en berceau aveugle avec un accès au nord, orientées perpendiculairement par rapport à la pente et sans communication entre elles, ces salles semblent reposer sur d’anciennes terrasses avec réutilisation d’un système hydraulique antérieur. Cet ensemble de salles daté de la période Mamluk, (dernière phase d’occupation avec interruptions), fonctionne comme élément de stockage, comme étables en relation avec la citadelle (M4, M5, M8) voire comme unités domestiques.
A côté, la tour nord-est construite en plusieurs phases avec des remplois antérieurs (M1-M3). Immédiatement après la tour, une série de grottes avec corridors interconnectés, de facture byzantine, servant à capter l’eau est réutilisé par les Mamluk comme lieu de stockage (M1, M6, M7), (ill.75).
Zone N[14] : située à l’angle nord-ouest, directement au nord de la résidence palatiale, les fouilles ont exhumés un édifice Omeyyade sur la face intérieure du mur Hellénistique composé de deux salles (4x4m) communiquantes et d’un corridor, elles sont occupées et abandonnées sous les Abbassides puis réoccupées par les Mamluk qui réparent les murs et le toit, percent un nouvelle accès par le sud y installent un four (tabûn). Ces salles ont fonctionné comme cuisines. Elles sont de nouveau réoccupées après une période d’abandon par les Ottomans qui les équipent d’un bac à grains dans le mur (qiwarah) (ill.13, 38-41).
Zone O[15] : sur la pente sud-ouest et en contrebas, les fouilles ont révélées les même constructions que précédemment avec des modifications dans leur dernière phase d’occupation, notamment la séparation par un mur avec bac pour stocker le grain (qiwarah) à l’époque Ottomane. Un autre ensemble de constructions identiques, daté de la période Mamluk, est découvert en O9-O10 avec cours et citernes, cet ensemble est identifié comme une habitation construite sur des vestiges byzantins prouvant aussi une occupation de longue date du site (tout comme les habitats de la zone M). Les fouilles en 2014 ont révélées une annexe à l’habitat.
Les fouilles menées sur cette zone permettent de se faire une idée du plan général de ces structures : deux fermes composées d’une salle construites l’une contre l’autre avec un étroit espace de stockage voûté entre elles, elles partagent une cour, deux citernes et un espace cuisine. La fonction de l’annexe au nord n’est pas connue. Ces deux fermes fonctionnent comme deux unitées indépendantes et ne communiquent pas entre elles (ill.62-66).
Zone P[16] : sur la pente sud-ouest et en contrebas, découverte d’une grande salle voûtée (9,6x6,2m) avec cour ceinte d’un mur, elle est datée de la période Mamluk avec extension et rénovation sous les Ottomans et au 19e siècle. Elle repose sur une structure Byzantine et Omeyyade (ill.67-72).
Zone R[17] : sur la pente est, endroit peu exploré. Les récentes fouilles ont révélées des sections de murs partant directement de la façade est de la citadelle et datant peut-être de la période Mamluk. La fonction de ces murs n’est pas connue.
Périodes antéreures.
Le site présente deux phases d’intense développement au 7e/6e siècle BC et au 2e/1e siècle BC à l’époque Hellenistique tardive avec la construction d’une acropole au sommet du tell et la présence de garnisons grecques.
Les Romains reprennent le site, qui se situe à l’époque sur la route nord-sud (via Nova Troiana) et la route est-ouest depuis la Trasjordanie jusqu’à la Palestine, ils en font un site à vocation commerciale plus que militaire. L’urbanisation du site s’accélère aux 3e/4e siècles avec l’élévation d’édifices domestiques et l’occupation d’espaces souterrains, les constructions deviennent monumentales comme en témoignent les vestiges du Temple découverts sous la basilique et le grand escalier sud menant à l’acropôle depuis la plaza qui datent de cette période, Esbus[18] acquiert ainsi le status de municipium. Ce status semble perdurer sous les premiers Byzantins à la première moitié du 4e siècle. Un séisme en 363/365 détruit une partie de ces édifices mais cela ne semble pas freiner la construction bâtiments plus modestes.
Le Temple, détruit pendant le séisme, n’est pas reconstruit, il est réutilisé et remplacé par une Basilique byzantine. Peu à peu le tell se repeuple et le sommet est de nouveau construit avec des édifices, deux autres églises sont aussi élevées. La fin de la période Byzantine voit le site prendre le status d’évêché.
La période du début de l’Islam ne semble pas bouleverser le peuplement local, la fonction du site reste floue (peut-être administrative). Le site apparaît comme une ville avec la fonction administrative d’une capitale locale, le sommet est réinvesti, les pentes sont repeuplées par une série de fermes et les structures souterraines sont réutilisées comme parc à bestiaux, citernes ou espaces de stockage.
Périodes médiévales.
Le site semble avoir été réoccupé sous les derniers Ayyûbides qui y construisent une madrasa.
Sous le sultanat d’al-Nâsir Muhammad (3e règne 30 ramadan 709/3.III.1310 – 21 dhu’l-hijja 741/7.VI.1341), le site à une fonction militaire et résidentiel pour le gouverneur local et sa garnison car Hisban est passée au rang de capitale régionale du district de Balqa’, les édifices au sommet appartiennent au complexe édifié à cette période (hammam, structures domestiques) et réutilisent de nombreux matériaux antérieurs. Les pentes surtout au nord et à l’ouest sont densément occupées ainsi que les contrebas du tell. De nombreuses habitations sont regroupées sur des terrasses et incorporent un système hydraulique. Mais un séisme en 757/1356 endommage ces installations et faute de reconstruire, la capitale est trasférée à ‘Amman et le site est peu à peu abandonné. Des sources mentionnent la visite du sultan al-Zâhir Barqûq en 791/1389 reçu par la tribu locale des Banû Mahdî qui devaient donc occuper les lieux confirmant ainsi un départ de l’administration Mamluk.
Sous les Ottomans, c’est un village et une halte saisonnière pour les tribus Adwan et Ajarma.
Epigraphie
Pas
d’inscription.
Biblio complémentaire
Pringle (1997), p.50-51
Labianca (1998), p.245-257
Labianca/Ray (1999), p.115-125
Labianca/Ray (2000), p.9-21
Walker (2001), p.29-33
Jones (2003)
Walker (2003), p.241-261
Walker (2004), p.119-147
Walker (2008), p.509-528
Walker/Labianca (2003), p.443-471
Walmsley (2008), p.495-537
Bates (2014), p.287-319
Jones (2016)
Bates/Hudon/Labianca (2017), p.657-675
Walker/Bates (2017), p.217-248
Walker/Hudon/Bates (2017), p.483-523
Walker/Laparidou (2017), p.167-245
Walker/Shqour (2018), p.557-595
Pini (2019)
Pini (2021), p.213-257
Walker (2021)
Walker (2021a), p.103-122
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1/ plan du site avec localisation des édifices et
des zones de fouilles |
2/ plan du site avec le trajet de visite |
3/ plan du site et des alentours avec les zones de
fouilles des années 1970 |
4/ plan des zones de fouilles en 1969, 2003, 2014 |
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5/ plan des zones de fouilles en 2013 |
6/ plan des zones de fouilles en 2017 |
7/ vue de la partie sud-ouest du tell depuis la
plateforme |
8/ vue de la partie ouest du tell depuis la
plateforme |
9/ vue de la partie nord-ouest du tell depuis la
plateforme |
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10/ vue de la partie nord du tell depuis la
plateforme |
11/ vue de la partie nord-est du tell depuis la
plateforme |
12/ vue de la partie est du tell depuis la
plateforme |
13/ plan de la zone A avec la résidence Mamluk et N
avec les salles Mamluk |
14/ plan et relevés de la cour de la résidence
Mamluk en zone A |
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15/ plan de la Basilique en zone A en 1975 |
16/ plan reconstitué de la Basilique en zone A en
1980 |
17/ plan et relevés du hammam en zone A |
18/ vue axionométrique du hammam |
19/ vue de la Basilique et de la résidence Mamluk
depuis la plateforme |
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20/ vue de la résidence Mamluk depuis le nord |
21/ vue de la cour pavée de la résidence Mamluk
depuis le nord |
22/ vue de la Basilique et de la résidence Mamluk
depuis le nord-est |
23/ vue de la résidence Mamluk depuis le nord-est |
24/ vue de la résidence Mamluk depuis l’est |
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25/ vue du sommet du tell depuis l’est |
26/ vue de la résidence Mamluk depuis l’est |
27/ vue du sommet du tell depuis l’est |
28/ vue de la zone L depuis l’est |
29/ vue des salles de la zone L depuis le nord-est |
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30/ une salle de la zone L depuis l’est |
31/ vue de la basilique depuis l’est |
32/ l’arche d’une salle de la zone L depuis le nord |
33/ vue de la résidence Mamluk et du hammam depuis
le sud |
34/ vue du hammam depuis le sud |
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35/ vue de la cour pavée et du hammam depuis le
sud-est |
36/ vue de la cour pavée depuis le nord |
37/ vue de la cour pavée depuis le nord-ouest |
38/ vue des salles Mamluk de la zone N depuis le
sud-ouest |
39/ les salles Mamluk de la zone N depuis le sud |
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40/ les salles Mamluk de la zone N depuis l’est |
41/ les salles Mamluk de la zone N depuis l’ouest |
42/ vue du hammam depuis le nord-ouest |
43/ le hammam depuis le nord |
44/ le hammam depuis le nord-est |
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45/ vue du mur hellénistique depuis l’ouest |
46/ vue du mur hellénistique depuis le nord |
47/ vue du sommet du tell depuis le sud-est |
48/ plan de la zone B1, B2, B3, B4 |
49/ plan de la zone C |
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50/ plan de la zone C6, C8 |
51/ plan de la zone C9, C10 |
52/ plan de la zone D1, D2 |
53/ vue de la partie médiévale à l’ouest du tell |
54/ une partie du village médiéval à l’ouest |
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55/ vue du sommet du tell avec l’escalier depuis le
village médiéval |
56/ vue du sommet du tell depuis le village médiéval
à l’ouest |
57/ vue du village médiéval depuis le sud-est |
58/ un édifice du village médiéval (madrasa
Ayyûbide ?) |
59/ l’édifice depuis le nord |
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60/ l’édifice depuis le nord-ouest |
61/ vue du village et du sommet du tell depuis
l’ouest |
62/ plan du groupe de fermes de la zone O |
63/ modélisation du groupe de fermes de la zone O |
64/ plan et vue aérienne de la zone O9, O10 |
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65/ vue aérienne de la zone O10 |
66/ photogrammétrie du groupe de fermes de la zone O |
67/ vue de la zone P (groupe de fermes) depuis le
tell |
68/ le groupe de fermes en zone P depuis l’est |
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69/ vue du groupe de fermes en zone P depuis le nord |
70/ une partie des fermes en zone P depuis le
nord-est |
71/ une partie des fermes du groupe P depuis le
nord-est |
72/ modélisation d’un ehabitation en zone P |
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73/ vue du grand escalier et de la plaza depuis
l’est |
74/ vue du sommet du tell depuis le sud |
75/ plan des habitations dela zone M |
Documents anciens, récits
[1] Le site Heshbon/Hisban est mentionné 35 fois dans l’Ancien Testament.
[2] Voir rapport, in
Harvey (1973), p.17-34 ; Lawlor (1980), p.65-76 ; Van Elderen (1969),
p.142-165
Van Elderen (1974),
p.118-132 ; Van Elderen (1975), p.117-132 ; Van Elderen (1976),
p.17-28 ; Van Elderen (1978), p.19-30 ; Vries (1986), p.223-235.
[3] Sur l’étude de la basilique, cf. biblio in note 2.
[4] Voir rapport, in
Walker (2013) ; Bates (2014), p.287-319 ; Walker (2017), p.492-502 et
Beegle (1969), p.118-126 ; Sauer (1973), p.35-71 ; Sauer (1975),
p.133-169 ; Sauer (1976), p.29-62 ; Sauer (1978), p.31-49
[5] Sur le sysytème hydraulique, cf. Walker (2017), p.501-508.
[6] Voir rapport, in Walker (2013) ; Labianca/Ray (1999), p.115-125 et Mare (1976), p.62-78 ; Mare (1978),
p.51-70 ; Parker (1978), p.71-107 ; Thompson (1969), p.127-142 ;
Thompson (1973), p.72-88 ; Thompson (1975), p.169-183.
[7] Voir rapport, in Labianca/Ray (1999), p.115-125 et Bird (1969), p.165-217 ; Geraty (1973),
p.89-112 ; Geraty (1975), p.183-202 ; Herr (1976), p.79-100 ;
Herr (1978), p.109-128.
[8] Voir rapport, in Labianca/Ray (1999), p.115-125 et Blaine (1978), p.183-188 ; Brown
(1978), p.167-182 ; Herr (1976b), p.107-109 ; Lawlor (1978),
p.189-199 ; Mare (1976), p.62-78 ; Wimmer (1978), p.149-166.
[9] Sur cet ensemble, cf. Walker/Labianca (2003), p.443-471; Carroll (2006), p.138-145 et Wimmer (1978), p.149-166.
[10] Voir rapport, in Walker/Labianca (2003), p.443-471; Walker/Bates/Hudon (2017), p.483-523.
[11] Sur les palais au sein des forteresses, cf. Brown (1988), p.225-245 ; Brown (1989), p.287-304 ; Brown (2013b), p.309-335 ; Brown (2016), p.541-560 ; Fragai (2019), p.187-208.
[12] D’autres séismes ont lieu en 741/1341, 743/1343, 768/1366, 807/1403/1404 et 862/1458. Sur les séismes, cf. Sbeinati (2005), p.347-435 et Hinzen (2016), p.751-764 qui démontre les effets d’un séisme sur les arches de la forteresse de Subayba/Nimrod.
[13] Voir rapport, in Walker (2013) ; Walker (2017), p.489-492 ; Walker/Shqour (2018), p.557-595.
[14] Voir rapport, in Walker/Labianca (2003), p.443-471; Walker/Bates/Hudon (2017), p.483-523.
[15] Voir rapport, in Walker (2013) ; Walker (2017), p.484-489 ; Walker/Shqour (2018), p.557-595.
[16] Voir rapport, in Walker/Shqour (2018), p.557-595.
[17] Voir rapport, in Walker (2013) ; Bates (2014), p.287-319 : Walker (2017), p.492 ; Walker/Shqour (2018), p.557-595.
[18] Nom Romain de Tell Hisban.