Jerash/Gerasa (n.d.)
Localisation : partie ouest de l’actuelle ville de Jerash au nord de ‘Amman.
Réf :
Burckhardt (1825), p.252-265
Fisher (1930), p.131-149 ; 151-169
Fisher/McCown (1930), p.1-59
Kraeling (1938)
Seigne (1985), p.287-295
Zayadine (1986)
Zayadine (1989)
Historique
L’antique cité de Jerash/Gerasa qui fait partie des Decapoles s’étend sur les deux rives du Chrysorrhoas/wadî Jerash. La cité a conservé les principaux monuments d’une ville Hellénistique et Romaine : un arc monumental (ill.3, 4), un hippodrome (ill.7-10), deux théâtres au sud (ill.19, 20) et au nord (ill.38, 39), un sanctuaire dédié à Zeus (ill.13-18) et un autre à Artemis (ill.33-36), une Place Ovale d’où part un cardo avec ses portes et ses tétrapyles (ill.21-29), deux decumanus (ill.66, 67), un marché (macellum) avec latrines, un Nymphée, des thermes, une cathédrale et plusieurs églises paléochrétiennes, des quartiers d’habitations, le tout entouré d’un mur d’enceinte de 4,2km[1].
L’occupation des ruines antiques durant la période Islamique[2] est éparse, on recense des vestiges médiévaux dans différentes zones dont,
L’hippodrôme (ill.7-10)[3] : des vestiges médiévaux sont signalés au nord et nord-est[4] peut-être liés aux activités agricoles. Des ateliers de teinturiers ont été découverts[5].
Le théâtre nord (ill.38, 39) : découverte de matériaux médiévaux mais pas de structures, peut-être une réoccupation ponctuelle.
La Place Ovale (ill.21-29) : vers le sud-ouest un petit hameau peut-être le noyau d’une réoccupation médiévale des lieux[6].
Le sanctuaire de Zeus (ill.13-18) : découverte d’habitats ruraux au nord-ouest entre la façade ouest et le naos[7].
La partie centrale au sud-ouest du decumanus : des fouilles jusqu’en 2007 ont exhumées une mosquée qui semble reconstruite en plus petit après le séisme de 749 (ill.30-32), un hammam, un alignement de boutiques à l’est. Un ensemble à l’ouest qui consiste en petits bâtiments à fonction hydraulique/ou en lien avec l’eau[8].
Ces vestiges montrent une occupation durant la période Omeyyade/Abbasside puis une absence d’occupation aux 10/11e siècle. Ce secteur aurait été abandonné après le séisme de 749 et réoccupé sporadiquement à partir de la période Ayyûbide/Mamluk.
Le quartier nord-ouest de Jerash est fouillé par la mission Germano-Danoise (fouilles en 2012, 2013, 2014, 2015, 2016). Les tranchées effectuées lors de ces missions permettent de se faire une idée sur l’occupation de ce quartier à l’écart du reste de la ville.
Les différentes tranchées avec l’essentiel des découvertes (ill.40, 61-64) :
Tranchée A (ill.41)[9] : sur le point culminant du quartier nord-ouest, un site en forme de L désigné comme une salle rectangulaire dont l’occupation ne s’étend pas après la période Romaine.
Tranchée B (ill.42)[10] : sur la pente est de la colline, à l’est d’une probable habitation Mamluk de deux salles élevée sur une ancienne terrasse. Une presse à huile est installée à cet endroit nécessitant la construction d’une nouvelle salle puis un réaménagement des autres salles pour accueillir cette presse à huile identifiée du type levier et poids[11]. Finalement, la salle entière est remplie puis abandonnée au début de la période islamique. Une troisième phase de construction est attestée par l’élévation d’un mur qui donnerait une date entre l’ensevelissement de la presse et l’occupation de l’habitat Ayyûbide/Mamluk sur la terrasse.
Tranchée C (ill.43)[12] : à l’angle sud-ouest de l’édifice Ionique qui consiste en une habitation avec grande cour intégrée à un système de terrasses plusieurs fois remaniées. On note la construction d’une citerne et de canaux après l’effondrement d’une salle au sud-ouest probablement lors du fort séisme de 749, cette citerne est ensuite remblayée et servira de fondation pour l’habitation autour de la grande cour.
Tranchée D (ill.44)[13] : à l’angle est de l’édifice Ionique. Une première phase non identifée, une deuxième phase d’habitat Omeyyade/Abbasside et une troisième phase avec réutilisation sous les Ayyûbides/Mamluk d’un habitat avec cour plus étendue.
Tranchée E (ill.45)[14] : à 30m au sud-est de la tranchée D, à l’ouest d’un édifice Mamluk, présente quatre phases d’occupation ; une non identifiée, une phase avec une conduite d’eau, un mur de la période Byzantine/Début Islam et une structure appartenant à un complexe Ayyûbide/Mamluk.
Tranchée F (ill.46)[15] : une citerne (40x18m) sur la pente sud, utilisée comme citerne jusqu’au 5e/6e siècle, puis utilisation comme matériaux de construction pour un quartier résidentiel qui est remblayé au 6e/7e siècle, tout comme la citerne (ill.37, 58).
Tranchée G (ill.47)[16] : sur decumanus nord côté pente nord, trace d’une route en terre et de murs. Le decumanus ne semble pas atteindre pas ce secteur.
Tranchée H (ill.48)[17] : au sud de la tranchée G, des terrasses construites avec murs de soutennement et conduites hydrauliques.
Tranchée I (ill.49)[18] : au nord du quartier, elle confirme l’absence de prolongement du decumanus. Une phase romaine avec des structures non identifiées, deux phases Byzantine/Omeyyade avec deux salles rectangulaires en partie excavées et dont le plan d’origine a été altéré. Une phase Omeyyade/Abbasside suivie d’un abandon, puis un éboulement probablement suite au séisme de 749. Durant la période Ayyûbide/Mamluk, des traces de foyers sont signalées, peut-être une salle à occupation temporaire. Le secteur est ensuite recouvert par une route au 19e siècle.
Tranchée J (ill.50)[19] : au sud de la grande cour qui s’étend à l’est de l’édifice Ionique. Des structures avec escalier menant à une grotte obstruée par la suite et de possible aménagement en cuisine. Trois phases romaines sont relevées et une Byzantine/Omeyyade. Construction d’une route ‘la rue centrale’ sur la cage d’escalier et la grotte qui est remblayée au début du 4e siècle. Cette phase semble liée au hameau de la période Ayyûbide/Mamluk sur les côtés nord et ouest de la grande cour. Après l’abandon d’habitats et de la route, le secteur est nivelé et un chemin est-ouest est délimité par des murets.
Tranchée K (ill.51)[20] : sur la pente est de la colline. Des traces de destructions soudaines peut-être consécutives au séisme de 749, avec des vestiges appartenant à un édifice orienté parallèlement à la pente. Des habitats de la période Omeyyade avec deux salles et une conduite d’eau, puis une extension de l’édifice vers l’est et un réaménagement interne. Cet ensemble est en partie détruit par le séisme de 749 et ne sera pas réparé ou réoccupé jusqu’à l’époque contemporaine.
Tranchée L (ill.52)[21] : sur la pente sud, à la jonction de la ruelle sud et du côté ouest de la grande citerne. Pas de structure architecturale construite en même temps que la citerne. Une deuxième phase du 5e/6e siècle voit la construction de la ruelle sud et l’émergence du quartier résidentiel de part et d’autre de cet axe est-ouest. L’édification d’un mur de soutenement à l’extrémité est de la ruelle et à l’intérieur de la citerne. Pendant la période Byzantine la ruelle est renivellée et certains aménagements sont apportés à cet endroit. L’ensemble décline à la fin de la période Byzantine/début Islam puis est abandonné probablement suite au séisme de 749.
Tranchée M (ill.53)[22] : au nord du quartier, sur le probable tracé du décumanus nord. Des vestiges de colonnes et des traces d’occupation d’époque Romaine et/ou Byzantine, peut-être la préparation du site à une construction non définie. Une terrasse est construite à l’époque Byzantine tardive ou Omeyyade puis réaménagée.
Tranchée N (ill.54)[23] : à l’ouest de la synagogue, dans la continuité de la tranchée J sur le côté sud et avec un accès aux salles souterraines. Découverte d’une salle souterraine avec sol en mosaïque et inscriptions grecques datées 576 et 591 A.D peut-être en lien avec la synagogue convertie en église. Les salles sont divisées en plus petites avec l’érection de murs au début de la période Islamique.
Tranchée O (ill.55)[24] : à l’angle nord-ouest de la citerne. Découverte d’une allée nord/sud avec habitat à l’ouest et conduite d’eau parallèle à l’allée datant du début de la période Islamique.
Tranchée P (ill.56)[25] : sur la terrasse est au sud de la tranchée K, une partie d’un habitat du début de la période Islamique, peut-être en lien avec habitat de la tranchée K, détruit lui aussi en 749.
Tranchée Q (ill.57)[26] : à cheval sur le mur d’enceinte de la ville. Une conduite d’eau et un canal (peut-être un égout).
Tranchée R (ill.58)[27] : à l’est de la tranchée G, le secteur ne semble pas bâti et servirait vraisemblablement de jardins urbains ou d’espace agricole.
Tranchée S-X[28].
Les premières traces d’activité humaine de ce quartier semblent se limiter à l’exploitation des carrières. Une grande citerne (ill.37, 58) est construite sur la pente sud, utilisée comme citerne jusqu’au 5/6e siècle puis comme carrière et zone résidentielle. Les informations sur le système hydraulique associé à cette citerne sont très lacunaires. Après le séisme de 749, le quartier nord-ouest est abandonné ou bien laissé vierge de construction pour être utilisé comme jardins urbains ou espace agricole. Une réoccupation est attestée seulement à partie de la période Ayyûbide/Mamluk avec un petit hameau réduit au point culminant de la colline[29] . Ce hameau est élevé autour d’une grande terrasse (57x31m) et consiste en trois complexes, chacun indépendant mais en lien avec les autres :
L’édifice Ionique (23x19m) doit son nom aux matéraux réutilisés, il comprend plusieurs salles et un espace pavé au sud (une cour ou une salle d’audience ouverte), une salle supplémentaire est ajoutée, les fouilles montrent la réutilisation de murs Omeyyades, mais aussi des traces de nivellement et d’arasement des structures antérieures. Son plan régulier et sa position dominante donne une fonction peut-être officielle à cet édifice. A l’est s’étend la grande terrasse au fonctionnement non identifié.
Le complexe A est un groupe de plusieurs salles ou plusieurs habitations d’une seule salle.
Le complexe B montre des salles organisées autour d’une cour. Peut-être la réunion de deux structures en une.
Les constructions d’époque Omeyyades ont donc été rasées, remblayées puis nivellées pour servir de fondations aux nouvelles constructions sous les Ayyûbides/Mamluk, certains murs antérieurs sont aussi conservés et réutilisés. Ces habitats agglomérés ressemblent à ceux découverts à l’angle sud-ouest de la cour du sanctuaire de Zeus, à ceux du Tell Hisban et en plus imposants à ceux de Nahal Haggit[30].
Il n’y a de traces d’agriculture ou d’installation de presses, l’approvisionnement en eau semble problématique.
Epigraphie
Pas
d’inscription.
Biblio complémentaire :
Barnes (2006), p.285-314
Blanke (2007), p.177-197
Kennedy (2007)
Kalaitzoglou (2012), p.79-88
Lichtenberger/Raja (2012), p.231-239
Ovadiah/Mucznik (2012), p.515-534
Kalaitzoglou (2013), p.57-79
Lichtenberger/Raja (2015), p.112-130
Lichtenberger/Raja (2015b), p.483-500
Lichtenberger/Raja (2016), p.66-81
Lichtenberger/Raja (2016b), p.317-359
Kalaitzoglou (2017), p.11-37
Lichtenberger/Raja (2017), p.39-103
Lichtenberger/Raja (2017b)
Rattenberg (2017), p.312-332
Kalaitzoglou (2018), p.11-43
Lichtenberger/Raja (2018)
Lichtenberger/Raja (2019), p.51-71
Lichtenberger/Raja (2019b), p.1-7
Peterson (2019), p.73-83
Lichtenberger/Raja (2020), p.1-47
Kalaitzoglou
(2022), p.17-129
Kalaitzoglou (2022a), p.131-226
Peterson (2023)
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1/ plan du site de Jerash |
2/ Plan du site de Jerash avec localisation des
monuments |
3/ l’accès actuel au site par l’Arche d’Hadrien |
4/ l’Arche d’Hadrien |
5/ vue de l’hippodrome depuis le sud avec un cintre
de voûte en bois |
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6/ la façade de l’Arche d’Hadrien |
7/ plan de l’hippodrome |
8/ la piste de l’hippodrome depuis le nord |
9/ les gradins de l’hippodrome depuis le nord-est |
10/ les salles de l’hippodrome |
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11/ vue de la ruelle et du sanctuaire de Zeus depuis
la Porte Sud |
12/ vue des échoppes le long de la ruelle de la
Porte Sud |
13/ plan du sanctuaire de Zeus |
14/ plan des aménagements médiévaux dans le
sanctuaire de Zeuw |
15/ vue du sanctuaire de Zeus depuis le sud |
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16/ vue du sanctuaire de Zeus et du théâtre sud
depuis la Place Ovale |
17/ / vue du sanctuaire de Zeus depuis la Place
Ovale |
18/ le sanctuaire de Zeus depuis le nord |
19/ les gradins du théâtre sud |
20/ les gradins du théâtre sud |
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21/ vue de la Place Ovale vers le nord depuis le
sanctuaire de Zeus |
22/ vue de la Place Ovale depuis le sanctuaire de
Zeus |
23/ la Place Ovale vers le nord |
24/ la Place Ovale vers le nord |
25/ vue de la Place Ovale depuis l’ouest |
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26/ la Place Ovale depuis le sanctuaire de Zeus |
27/ vue de la Place Ovale et du cardo |
28/ vue du cardo vers le nord depuis la Place Ovale |
29/ le cardo en direction du nord |
30/ plan de la mosquée de Jerash (état en 2004 et
2006 |
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31/ plan de la mosquée de Jerash (état en 2007) |
32/ vue de la mosquée depuis le nord-est |
33/ plan du sanctuaire d’Artemis |
34/ le grand escalier vers le sanctuaire d’Artemis |
35/ le sanctuaire d’Artemis depuis le sud |
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36/ vue du sanctuaire d’Artemis depuis l’ouest |
37/ vue de la grande citerne du quartier nord-ouest
depuis le nord |
38/ l’escalier du théâtre nord |
39/ les gradins du théâtre nord |
40/ plan des fouilles du quartier nord-ouest de
Jerash |
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41/ plan de la tranchée A du quartier nord-ouest |
42/ plan de la tranchée B du quartier nord-ouest |
43/ plan de la tranchée C du quartier nord-ouest |
44/ plan de la tranchée D du quartier nord-ouest |
45/ plan de la tranchée E du quartier nord-ouest |
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46/ plan de
la tranchée F du quartier nord-ouest |
47/ plan de la tranchée G du quartier nord-ouest |
48/ plan de la tranchée H du quartier nord-ouest |
49/ plan de la tranchée I du quartier nord-ouest |
50/ plan de la tranchée J du quartier nord-ouest |
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51/ plan de la tranchée K du quartier nord-ouest |
52/ plan de la tranchée L du quartier nord-ouest |
53/ plan de la tranchée M du quartier nord-ouest |
54/ plan de la tranchée N du quartier nord-ouest |
55/ plan de la tranchée O du quartier nord-ouest |
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56/ plan de la tranchée P du quartier nord-ouest |
57/ plan de la tranchée Q du quartier nord-ouest |
58/ plan de la grande citerne du quartier nord-ouest
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59/ plan des différentes phases du hameau Mamluk |
60/ plan du hameau Mamluk du quartier nord-ouest |
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61/ vue du quartier nord-ouest depuis le sud |
62/ vue du quartier nord-ouest depuis le sud-est |
63/ vue du quartier nord-ouest depuis le sud-est |
64/ vue du quartier nord-ouest depuis l’ouest |
65/ la mosaïque de l’église Genesius |
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66/ vue du decumanus depuis le sud-ouest |
67/ vue du sanctuaire d’Artemis et du decumanus
depuis le sud |
68/ la Place Ovale depuis le nord-ouest |
Documents anciens
[1] Sur l’historique et la description de la cité antique et Byzantine, cf. Zayadine (1986), (1989) ; Lichtenberger/Raja (2018b) ; Lichtenberger/Raja, (2019c) ; Lichtenberger/Raja (2020b).
[2] Sur le début de la période Islamique, cf. Zayadine (1986) et (1989) ; Lichtenberger/Raja (2019c).
[3] Sur l’hippodrôme, cf. Ostrasz (1989), p.51-77 et Ostrasz (2020).
[4] Voir rapport, in Tholbecq (1997), p.153-179.
[5] Sur ces ateliers, cf. Bessard, F & Bonneric, J, « Jerash et l’essor de l’économie urbaine au début de l’Islam. Considérations à partie de l’exemple des ateliers de teinturiers Byzantino-Omeyyade de l’Hippodrome », in SHAJ 11, 2013, p.305-319.
[6] Voir rapport, in Tholbecq (1997), p.153-179.
[7] Voir rapport, in Tholbecq (1997), p.153-179.
[8] Sur cette partie du site, cf. Barnes (2006), p.285-314 ; Blanke (2007), p.177-197 ; Walmsley (2008), p.109-138.
[9] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2013), p.57-79.
[10] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2013), p.57-79.
[11] Sur la typologie des presses à huile, cf. Waliszewski (2009), p.709-721 ; Taxel (2013), p.361-394.
[12] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2013), p.57-79.
[13] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2017), p.11-37.
[14] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2017), p.11-37 ; Kalaitzoglou (2018), p.11-43.
[15] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2017), p.11-37.
[16] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2017), p.11-37.
[17] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2017), p.11-37 ; Kalaitzoglou (2018), p.11-43.
[18] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2018), p.11-43.
[19] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2018), p.11-43 ; Lichtenberger/Raja (2019), p.51-71.
[20] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2018), p.11-43 ; Lichtenberger/Raja (2019), p.51-71.
[21] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2018), p.11-43.
[22] Voir rapport, in Kalaitzoglou (2018), p.11-43.
[23] Voir rapport, in Lichtenberger/Raja (2019), p.51-71.
[24] Voir rapport, in Lichtenberger/Raja (2019), p.51-71.
[25] Voir rapport, in Lichtenberger/Raja (2019), p.51-71.
[26] Voir rapport, in Lichtenberger/Raja (2019), p.51-71.
[27] Voir rapport, in Lichtenberger/Raja (2019), p.51-71.
[28] Fouilles en 2016, en cours de publications. Voir un résumé in, Lichtenberger/Raja, « Jerash Nordwest Quarter project », in Achaeology in Jordan newsletter : 2016-1017 seasons, Amman, 2018, p.29-30.
[29] Voir rapport, in Lichtenberger/Raja (2016), p.66-81 ; Peterson (2019), p.73-83.
[30] Sur ce site, cf. Seligman (2010).